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Vadrouille débrouille

Petits récits de voyages...en vadrouille et avec débrouille. Le principe est simple: je pars pour une destination sans avoir rien préparé au départ, aucune réservation, aucun obligation, chaque matin je ne sais pas où je vais dormir le soir même, ni où je vais être. Débrouille parce que forcement il faut se nourrir, se laver, dormir.

Le principe n'est pas de faire de la survie, mais simplement de raconter comment je voyage sans réserver d'hébergement, sans planifier, sans prise de tête. C'est clair que le confort absolu n'est pas recherché, je cherche avant tout à vivre mes voyages, et voir du pays. Vadrouille, débrouille mais pas glandouille!

Trajet EP1: Strasbourg-Sarajevo
Trajet EP2: La Loire à vélo
aoû 04

EP3 J6 - Käsmu - Narva

8h30 : réveil tonitruant par les rires des deux ptits marmots. Entre la somnolence et le réveil, j'ai cru une seconde que c'était les miens (On peut en faire des choses en une nuit!).
Nous voilà disposés à une nouvelle journée remplie ; plan dans une main et stylo dans l'autre. Mathias nous indique qu'ils préparent le p'tit déj, et nous les voyons couper en morceaux une courgette absolument gigantesque...
Le café et le thé sont sur la table accompagnés de fruits, biscuits puis arrivent le fromage, une salade de tomates basilic et une sorte de tarte à la courgette tout simplement délicieuse. Ce qui peut apparaître pour un brunch chez nous est bel et bien un ptit déj en Estonie.
Nous clôturons cette rencontre par quelques conseils de voyage et une accolade bien généreuse qui nous rappellent l'essence du voyage : la rencontre avec des locaux.
Mathias nous dépose à Voru, où nous projettons de faire du stop jusqu'à Narva qui se trouve à plus de 160 km. Le temps de prendre un café, nous voilà sur une route en travaux, avec notre panneau Narva et notre smiley. 10 minutes plus tard nous nous retrouvons dans une camionette avec un chauffeur livreur qui s'apprête à aller en... France! Ça en fait des bornes. Il s'étonne de nous voir visiter l'Estonie car «  Il n'y a que des forêts en Estonie ». Nous sommes déposés à un carrefour jouxtant l'autoroute Tallin-Narva. Cette fois-ci c'est un automobiliste russophone qui nous conduira jusqu'à Narva. La route est longue, la vitesse de croisière est lente, il fait chaud, mais nous plaignons pas le trajet est gratuit. Sensation étrange dans la voiture où le silence règne car notre chauffeur parle uniquement russe...
                                                                                                   Monia
Vers 16h00 nous voilà arrivés à Narva, la troisième ville d'Estonie, frontalière avec la Russie, un pont surplombant le fleuve éponyme la reliant au pays des tsars. D'ailleurs la population est à 90% russophone et la ville possède le plus haut taux de chômage d'Estonie. Ce n'est que récemment que l'estonien est devenu obligatoire à l'école ce qui permettra à cette population de plus facilement trouver se place dans ce nouveau pays. Tout de suite l'ambiance est complètement différente, en plus de nombreux bâtiments industriels en friche, les belles maisons en bois peint laissent place à d'énormes blocs soviétiques numérotés à la facade décrépie. Cependant la verdure ne manque pas et entre les immeubles se trouvent de nombreuses aires de jeux envahies par des enfants.
Tandis que nous nous promenons entre les cubes de bétons, certains passants nous regardent avec étonnement, d'autres esquissent un sourire ou nous dévisagent, et certains vont juqu'a nous jeter un regard noir. Il faut dire que Monia avec la casquette fait assez garçonne et ça peut détonner dans un endroit ou les femmes sont soit vieilles, soit décorées au maquillage bricomarché.
Nous peinons à trouver le « Külastuskesus » ou office du tourisme puisqu'ici tout le monde ne comprend que « ЦEHTP OБCЛYЖИBAHИЯ ГOCTEЙ ГOPOДA », ce qui est bien moins facile à prononcer, n'est-ce pas ?
Du coup, nous rentrons dans le premier hôtel venu pour obtenir une carte de la ville, et nous connectons au WiFi du bar pour nous constituer un petit lexique russe. Notre première tentative d'auberge de jeunesse se solde par un échec, celle-ci étant complète. La seconde se trouve à environ deux kilomètres, ce qui ne manque pas de nous réjouir. On remet les sacs sur le dos, et en route. Galère aussi pour trouver celle-ci car elle est cachée au beau milieu d'un ensemble de blocs soviétiques. Après la super maison de Mathias, dormir dans un bloc type russe, c'est dépaysant. Nous ouvrons la porte couleur rouille, la chambre est propre et la taulière plutôt gentille, et c'est notre dos qui nous dit merci, car cela fait bien deux heures que nous nous baladons comme des escargots avec notre barda.
Narva est une ville assez industrielle, qui fut quasiment entièrement rasée par les russes en 1944, par conséquent quasiment tous les bâtiments de ce qui fut jadis un joyau architectural ont disparu. Subsiste encore les vieilles usines textiles du 19e au sud, l'hôtel de ville, les deux cathédrales, l'hôpital et bien sur le château. Construit sur les rives du fleuve Narva, juste à coté du pont reliant l'Estonie à la Russie, et faisant face à la forteresse d'Ivangorod, construite bien plus tard par Ivan le Terrible. La vue de ces deux géants face à face est vraiment impressionante.
Après avoir visité la ville assez rapidement, nous allons nous coucher car demain gros programme également, visite de Sillamäe, une ville russe secrète, et départ pour les rives du lac Peïpous où nous passerons la nuit.
Lire la suite 12 commentaires | Publié par Gilles edit post
aoû 03

EP3 J5 - Loksa - Käsmu

Une bonne nuit sous tente et un repos bien mérité nous ont revigoré. Monia n'a pas faim mais je décide de prendre le petit déjeuner du camping. Un porridge fade et des poissons marinés ça fait un peu bizarre, mais je me rattrape ensuite sur la salade de tomates, le paté, la charcuterie et le fromage. Reprendre des forces est essentiel, surtout quand la journée commence par 2km de marche avec sacs pour rejoindre Loksa centre.
Aujourd'hui notre but est de rejoindre la presqu'ile suivante, Käsmu. Je trouve deux cartons parfaits pour noter notre destination (avec un petit smiley, ce qui permet d'augmenter les chances d'être pris je trouve). Je n'avais même pas encore fini le carton que déjà un homme vient vers nous et nous propose de nous emmener au croisement de kotka, ce qui nous arrange bien. Nous montons dans son gros 4x4, où nous attend un petit blondinet adorable en train de manger une barquette de frites. Le type est très sympa, et son petit gremlin fait copain-copain avec Monia à l'arrière.
Arrivés au croisement de Kotka, au beau milieu de la forêt, nous ressortons le panneau et il ne faudra pas plus de 10 minutes pour que quelqu'un s'arrête pour nous prendre. Nous sympathisons très rapidement avce Mattias, qui possède une résidence secondaire à Käsmu, dans laquelle il nous invite en plus à passer la nuit. Youhou, le stop en Estonie, c'est magique !
Nous entrons dans le magnifique petit village de Käsmu par l'unique route le traversant, bordée de part et d'autre par des maisons de bois plus sublimes les unes que les autres. C'est dans l'une d'elles que Mattias et sa famille passent tout l'été, et une partie du printemps et de l'automne. Autant l'extérieur que l'intérieur sont superbes, du bois partout, et un coté hyper chaleureux. On se demande comment on peut encore construire des maisons en briques après avoir vu une maison aussi simple et aussi agréable. Dans une petite dépendance, on trouve un sauna et la douche, également toute en bois. Dans le jardin au milieu des arbres fruitiers et des buissons à baies, un totem taillé dans un tronc est érigé, représentant plusieurs visages utlisant au mieux les noeuds et nervures du bois.
Le temps de déposer les sacs et nous partons immédiatement en randonnée, à pied cette fois, pour faire le tour de la presqu'ile. Nous passons rapidement au musée de Käsmu pour prendre en photo la carte des sentiers du coin, et faisons un mâchon dans ce qui semble être l'unique « troquet » de Käsmu, une sorte de cabane dans le jardin d'un mec, qu'il faut appeler avec une sonnette.
Le petit sentier qui fait le tour de la presqu'ile nous emmène dans des champs sauvages de fleurs et herbes diverses, pour revenir plus près de la mer où se trouvent des dizaines de petits rochers plus ou moins ronds dépassant des flots, jadis charriés jusqu'ici par les glaciers.
A un moment nous arrivons devant un énorme rocher, plus grand que moi, avec une planche posée contre, ce qui permet de l'escalader. Impressionant de trouver un aussi gros caillou tout seul à cet endroit. Puis le sentier semble continuer par une sorte de gué composé de grosses pierres, il faudra donc faire preuve d'agilité pour continuer. Ce petit jeu m'amuse beaucoup, moi qui suis adepte du canyoning, et alors que je filmais, j'entends un « plouf » derrière moi. C'est Monia qui a dérapé et qui se retrouve dans l'eau jusqu'aux mollets... Elle enlève ses chaussures et décide donc de terminer pieds nus dans l'eau, tandis que je m'applique à ne pas commettre la même erreur. Arrivé au bout, je descends du dernier rocher, dans le sable mouillé, et c'est évidemment à ce moment que la mer décide de remonter un peu plus que d'habitude, et me voilà avec les pieds trempés. Et le pire dans tout ça c'est que nous nous sommes rendus compte que finalement ce gué menait à un cul-de-sac, et nous devons rebrousser chemin pour prendre le sentier de la forêt.
Retour au point de départ, pieds nus cette fois. À l'orée des bois, j'attends pendant quelques secondes Monia, qui est en train d'accrocher ses chaussettes à son sac, et ayant mon pantalon replié jusqu'au genoux, je me fais littéralement aggresser par les moustiques qui pullulent dans le coin. Quand on marche ça va encore mais dès qu'on s'arrête, c'est la catastrophe. Je descends mon pantalon au plus vite, mais c'est trop tard, je vais passer le reste de la journée à me gratter. J'emprunte le deuxième gilet de Monia pour me couvrir les bras, je vous assure il me sied à merveille (sic).
Nous nous enfonçons dans la forêt, qui se révèle quasiment magique. Le soleil s'infiltre entre les arbres, variés, tordus, couchés, rendant le vert de la mousse qui recouvre intégralement le sol absolument resplendissant. Le sentier serpente entre les bords de mer, et la forêt, le revêtement changeant entre mousse, terre sèche ou humide, graviers, galets, branchages, et commes nous sommes toujours pieds nus, c'est une véritable expérience sensorielle. L'autre expérience sensorielle pour moi, c'est de me gratter intégralement, putains de moustiques. Heureusement la solution n'est pas loin, il suffit de se plonger un peu dans l'eau de la Baltique → vasoconstriction et hop fini les démangeaisons. Pour un certain temps en tous cas.
La faune et la flore ne sont pas en reste, nous croisons régulièrement des abeilles, bourdons, papillons et bien évidemment des coccinelles. Les fleurs et plantes sont magnifique et notre parcours est jalonné de myrtilles sauvages, groseilles, et champignons variés. Et toujours ces magnifiques rochers erratiques près du rivage...
De retour à Käsmu, après 15km de marche, Mattias nous attend et a été rejoint par sa petite famille : sa femme Ingrid (non je ne lui ai pas demandé la fameuse question Tournez Ménages), son fils Theodore, sa fille Frida et sa belle-mère. Nous prenons un peu de temps pour dire bonjour et prendre un douche, puis nous jouons avec Mattias et Theodore au frisbee et au football. Théodore est trop rigolo et super communiquant, un peu turbulent et Frida et sa petite frimousse est tout le temps en train de sourire. Je crois que n'importe qui signerait de suite pour avoir les mêmes.

Ingrid nous a préparé une dîner super simple mais excellent : des pommes de terre vapeur avec une sauce à la viande et au légumes, avec une salade de tomates. Tous les légumes viennent du jardin et le pain à été fait maison par belle-maman. En dessert, avec le thé, petites gateaux et une sorte de gateau local aux myrtilles véritablement succulent. Comme il n'ya pas de magasin à Käsmu, nous sommes malheureusement venus les mains vides, nous nous en excusons, et insisitons pour obtenir l'adresse de Mattias pour leur envoyer quelques bonne bouteilles de France. En attendant nous faisons la vaisselle pendant qu'il couchent les mômes. Puis nous finissons cette belle journée autour d'un dernier verre à discuter avec Mattias de l'Estonie. Comme c'est un féru d'histoire, il nous raconte énormément de choses et d'anecdotes, ça fait vraiment plaisir d'être tombé sur des gens aussi gentils et intéressants.
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aoû 02

J4 - Talinn - Loksa

Ce matin réveil assez tôt pour enfin vraiment commence notre périple, direction le parc national de Lahemaa et ses forêts. Nous fraudons un tram pour nous rendre à la station du bus, car c'est le principale mode de transport du pays. Il y a un réseau de chemin de fer relativement peu développé, et très peu de train, qui de toute façon sont souvent plus lents que les bus pour à peu près le même prix, dérisoire (2,80€ pour 50km).
Le bus nous dépose à Loksa, le plus grand village du coin. Nous commençons par faire une bonne sieste d'un heure et demi dans l'herbe, histoire de finir notre nuit. Il y a un petit supermarché juste à coté de la station de bus, et nous composons notre repas d'une surte de pain de seigle, de fromage local, de fromage à tartiner goût poulet, de tomates, bacon, chips et yaourts.
Objectif de la journée : 1. Trouver un wifi pour voir si nos demandes à Loksa ont abouti. 2. Trouver un hébergement si besoin. 3. Trouver où louer des vélos pour parcourir la presqu'ile.
Nous nous mettons en route et les sacs pèsent de tout leur poids.
Nous nous rendons d'abord à la mairie , ou une employée très gentille nous fournit un plan et nous explique un peu le coin.
Nous reprenons la route, quand soudain sur une vieille bicoque en bois nous aperçevons un logo « WiFi ». Nous entrons et il s'avère qu'en fait c'est une sorte de librairie-bibliothèque tenue par un vieil homme très sympa. Il nous demande d'où nous venons, et place une petite épingle sur sa mappemonde, au milieu de centaines d'autres. Nous sommes ses premiers visiteurs strasbourgeois apparemment. Malheureusement, pas de réponses à nos demandes de couchsurfing. Le libraire nous indique alors un camping à Loksa, à environ 3km du centre.
La route nous semble interminable, et s'enfonce dans la forêt, et c'est une véritable délivrance lorsque nous arrivons enfin à destination et posons le paquetage. Coup de chance, le patron à justement deux vélos à louer, le temps de lui apprendre à remettre une chaine en place et nous sommes déjà partis.
25km lus tard, j'ai l'impression d'avoir eu le cul sur une rape à fromage tout le long. Mon vélo en plus d'être trop petit, était doté d'une selle aussi dure que le *%@/|[} d'un curé à la vue d'un enfant de choeur. Alors que Monia à reçu un vélo tout pimpant avec une selle suspendue et confortable en cuir.
Au moins nos yeux n'ont pas souffert, eux, la presqu'il de Parispea est véritablement magnifique. Je ne pensais pas qu'une forêt si belle pouvait se trouver si près de plage de rêve bordant une mer d'huile. Nous avons traversé plusieurs tout petits villages absolument charmants, avec de belles maisons en bois peintes de couleurs pastels, et des jardins... au millimètre. On voit que les gens du coin font très attention aux détails et sont très soigneux.
Le long de la route certains panneaux indiquent des chemins permettant d'atteindre des observatoires à faune, qui donnent la plupart du temps sur des marais. Et pour nous cela fait des pauses idéales.
Pour finir, nous nous posons sur la plage juste à coté de Loksa, dans la baie, sur notre gauche une forêt de pins et sur notre droite le port industriel au loin, avec ses grues ressemblant à des insectes ou des monstres mécaniques, un coucher de soleil venant achever une journée bien remplie, sans accroc, ereintante, mais ultra-plaisante.
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aoû 01

EP3 J3 – Talinn et environs

Une journée plutôt calme, mais beaucoup de marche. Ce matin nous sommes allés en bus à Pirita, dans la partie Est de Tallinn, où se trouve le port olympique. Truc drôle, à la gare des bus de Tallinn, les poteaux de béton sont emmitouflés dans des tricots de laine.
C'est l'occasion pour nous de voir une première fois la mer, et de marcher dans le sable fin pieds nus. S'en suit une grande marche d'un demi-douzaine de kilomètres pour rejoindre le centre.
Deux-trois erreurs de parcours nous ont fait atterrir à l'endroit ou se trouve les luxueuses villas des riches étrangers notamment. Nous nous sommes également arrêtés au Pré aux chants, où se déroule tous les 5 ans le grand festival de la musique à Tallinn. Cet événement regroupe 250000 personnes face à une estrade énorme recouverte par un toit en forme de coquillage. L'apothéose étant un on concert avec un choeur de pas moins de 32000 (!!!) choristes.
Sur le chemin nous rencontrons plusieurs fois des coccinelles, et Monia,pense que ça va nous porter chance. Personellement je les trouve jolies et c'est vrai que voir des coccinelles ça met de bonne humeur.
Une fois de retour au centre, direction l'ouest cette fois avec la plage de Stroomi. Autrefois interdite aux civils par les soviets pour d'obscures raison stratégiques, elle st certainement la plage la plus belle de Tallinn. Ce qui est assez impressionnant c'est qu'on a pied jusqu'à environ 100m du bord voire plus. A quasi 70m j'avais à peine de l'eau jusqu'au chevilles et l'impression de me prendre pour Jésus à marcher sur l'eau. L'eau est super chaude du coup, jusqu'à ce qu'on atteigne un courant froid, et là, c'est à peu près aussi chaud que Susan Boyle en culotte maxi Daxon motif tapisserie années 60.
Des tas de petites méduses multicolores flottent ça et là, et certaines se sont même échouées sur les bancs de sable comme les mamies sur la plage (à peu près la même consistance).
Nous remontons ensuite vers le port industriel, que nous tentons de traverser. Malheureusement notre soif de friches industrielles ne sera pas épanchée, les bâtiments étant consciencieusement fermées ou gardés. Retour un peu déçus vers le centre en tram, qui cahote et vibre dans tous les sens.
S'en suivra un succulent steak (un des meilleurs que j'ai jamais mangés) chez Peppersack, un restaurant médiéval que je vous recommande chaudement(avec spectacle de combats d'épées). Sur les terrasses, il ne fait pas chaud, 15° environ, du coup les restaurateurs mettent des couvertures à disposition des clients.
Après ça, retour à l'auberge de jeunesse, un suppo et au lit.

Pas grand chose à dire sur cette journée, mais les photos sont plus parlantes que les mots !

Merci pour les commentaires! Par contre si vous commentez sans vous identifier, pensez à signer de votre nom pour qu'on sache de qui il s'agit, merci!!
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A propos de moi:
Age:29 ans.
Taille:1m83.
Poids:Sponsorisé par Picon et Cochonou.
Yeux:Gris-Vert avec un cercle jaune dedans, comme les mutants.
Cheveux:J'ai arrêté.
Piercings:Non, toujours étanche.
Tatouages:Oui mais non.
Astro:Comme tous les poissons, je ne crois pas à l'horoscope.
Religion:Schpouit

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